ART DE LA TABLE, PLUS DÉSIRABLE QUE JAMAIS !

20 octobre 2025
Par : Céline Vautard

Dans un monde où tout s’accélère, dresser la table reste un acte universel qui ancre chacun dans le quotidien et, en boutique, permet de rêver. Plus que jamais les choix sont multiples et les marques rivalisent de talent dans ce domaine. Zoom sur les nouvelles dynamiques et les tendances à suivre pour enrichir l’expérience client.

« Une année sans saveur pour les arts de la table », écrivait l’Observatoire Francéclat dans son dernier rapport des chiffres clés 2024 paru en avril 2025.

Production en demi-teinte à 1,3 milliard d’euros de chiffre d'affaires (-7 % versus 2023), exportations et importations stables et un marché français qui a reculé de 4 % à 1 070 millions d’euros différemment contrasté selon les circuits de distribution.

L’heure n'est pas à la fête. Pour autant, le marché se révèle extrêmement dynamique du côté des collections.

UN UNIVERS HAUTEMENT CRÉATIF

De fait, fabricants, marques, distributeurs, le marché regroupe des passionnés qui n’ont de cesse de réinventer le quotidien pour qu'il soit plus beau, plus agréable et réponde aux enjeux du moment.

« Dans notre secteur, tout part de la passion. Quand on est passionné par l'art de la table, cela se voit, cela se transmet, et le client l'emporte ensuite chez lui », s'enthousiasme Camille Meyhui qui reprend progressivement la direction de la maison familiale belge Home & Table by Meyhui (celle-ci sélectionne et distribue en exclusivité des marques au Benelux et en France dont IHR, Royal Boch.

[Photo : Le style artisanal de la gamme Organic chez Dutch Rose. Prix public : à partir de 11,95 € la petite assiette.]
[Photo : Villeroy & Boch célèbre le 15ᵉ anniversaire de sa célèbre collection Toy’s Delight avec un calendrier de l’Avent qui renferme un service pour deux (24 pièces en porcelaine), idéal pour le petit-déjeuner. Dix articles inédits, uniquement disponibles dans ce calendrier, enrichissent la collection. Prix public : 349 €.]

Dutch Rose, Laura Ashley, NDLR). D’ailleurs, j’aime rappeler que l’art de la table contient le mot “art” : soyez créatifs, osez, mélangez ! Il n’y a pas de règles, seulement l’envie de surprendre et d’émouvoir. J’aime dire que c’est un univers qui ne doit jamais rester figé car le monde change vite et les clients ont besoin de rêver. Dans un magasin, une table joliment dressée a beaucoup plus d’impact qu’une simple étagère. Sur les réseaux sociaux, quelques photos ou vidéos bien pensées peuvent transformer une collection en véritable source d’inspiration. C’est aux détaillants de montrer la magie en action. »

De fait, mettre la table n’a jamais autant suscité d’émotions et est devenu une source d’inspiration pour les clients. « L’action de dresser une table est une véritable forme d’expression personnelle et d’hospitalité, confirme Fabio Sanzogni, CEO de Pozzi Milano. Plus qu’une simple décoration, cela reflète un désir croissant de ralentir le rythme et de profiter des moments passés en famille et entre amis. À travers nos choix de couleurs, les détails et l’ambiance, nous racontons une histoire. Pour cela, outre le renouvellement de nos collections, le storytelling est essentiel car les clients sont attirés par les expériences, pas seulement par les objets. C’est pourquoi nous soutenons nos détaillants avec des présentoirs soignés, des moodboards saisonniers et du matériel de merchandising visuel. Nous fournissons également des emballages qui améliorent l’expérience cadeau, et nous sommes actifs sur les canaux numériques pour aider les détaillants à communiquer avec leur public par le biais de contenus et d’inspiration. »

ENTRE BASE NEUTRE, PERSONNALISATION ET ARTISANAT

Pour surprendre en boutique et inciter le client à entrer et consommer, les pistes d’inspiration sont multiples tant les propositions le sont. Ainsi, sur le dernier salon Maison & Objet, alors qu’Amélie Pichard, directrice artistique de l’édition de septembre 2025, présentait une maison immaculée, confiant être « devenue allergique aux couleurs », certains designers n’hésitent pas, au contraire, à s’emparer de nuanciers vibrants. Ainsi, cet automne, la tendance oscille entre une palette terreuse (marron, ocres très chauds, jaunes réconfortants) qui réchauffe les intérieurs et une autre qui dynamite le moral : vert intense, rose éclatant, rouge cerise ou bleu Klein. Sur la table, cela se traduit par différentes possibilités. « Nous cherchons à éveiller la curiosité et à donner envie de réinventer les moments autour de la table avec des formes originales et des couleurs expressives, confie Amalia Di Silvio, chargée du retail France & Belux chez WD Lifestyle. Chez nous, l’inspiration naît de la surprise, de l’audace des associations et de cette touche de convivialité joyeuse qui est au cœur de notre ADN. »

[Photo : Créée dans les années 1990 par Pierre Casenove, la gamme Tourron de Jars Céramistes se caractérise par son approche en faveur des couleurs intenses et des émaux vibrants. Le nouveau coloris Sormiou s’inscrit dans cette histoire : un émail lumineux inspiré des paysages du sud qui s’accorde à de nombreuses teintes.]
[Photo : Platex célèbre 75 ans de savoir-faire avec le lancement de Couture, une collection 100 % made in France qui sera disponible en 2026. Elle comporte 6 créations d’exception (feuille d’or, feuille d’argent, tortue, ambre, dune et cannage) réalisées dans un acrylique délicat. Prix public : de 362 € à 1 198 €. ]

« En 2025, deux grandes dynamiques se dessinent, poursuit Camille Meyhui (Home & Table by Meyhui). D’abord, la tendance du pratique et du lifestyle avec la mélamine, le côté “outdoor”, en phase avec des modes de vie plus nomades et ensuite une autre tendance de grand retour aux essentiels avec service blanc intemporel, élégant et sobre, qui devient la toile de fond idéale pour jouer ensuite avec des couleurs vives, des motifs ou des accessoires saisonniers. Cette double dynamique ouvre la porte à une créativité sans limites : on part d’une base neutre et on personnalise selon son humeur, son style ou l’occasion. Nous accompagnons nos partenaires dans ces tendances en leur offrant des collections variées et complémentaires, faciles à mettre en scène en magasin. Quant au commerçant, il devient ambassadeur de style en osant affirmer son propre regard. Comme dans tout art, il n’y a pas de règles figées. L’important est de choisir une signature — la sienne —, et de suivre son instinct afin de transformer une simple présentation en véritable expérience. »

« Plus que jamais, en 2025, nous prévoyons une attention soutenue à la personnalisation et à l’esthétique artisanale qui sont dans l’air du temps, confirme Fabio Sanzogni (Pozzi Milano). Les clients recherchent des articles porteurs de sens, qui racontent des histoires. C’est là qu’interviennent les détaillants en créant des environnements inspirants en magasin, en proposant des sélections soignées et en enseignant à leurs clients comment combiner, assortir et sublimer leur table. Pour ce faire, nous fournissons les outils et le contenu qui leur permettent d’y parvenir. »

Un sentiment partagé par André Sliwka, head of international sales chez Räder : « Aujourd’hui, les clients recherchent l’authenticité, des produits qui véhiculent une certaine émotion. L’inspiration naît dans les détails : des finitions artisanales, des matériaux naturels, une palette de couleurs harmonieuse. Parmi les dynamiques d’achat, nous en notons trois. D’abord, la longévité : les clients veulent des produits qui gardent leur valeur, pas seulement des tendances. La personnalisation : touche personnelle, mix & match, petites mises en scène plutôt qu’uniformité. Enfin les produits hybrides entre fonction et émotion. Ceux-ci ne sont pas seulement pratiques, ils ont aussi une signification. Pour nous, le commerçant devient de plus en plus un conservateur et un ambassadeur de style : il traduit les tendances en inspiration concrète, filtre l’offre excédentaire et met clairement l’accent sur certains aspects. Grâce à sa touche personnelle dans le magasin… »

[Photo : Alessi étoffe la collection Delight avec une série d’objets dédiés aux fêtes de fin d’année exprimant le langage pop caractéristique de la designer Nika Zupanc. Prix publics : 35 € le chandelier, 79 € la bonbonnière, 89 € la boîte à biscuits.]
[Photo : Atmosphère hivernale garantie avec la ligne Birds in Winter signée Ambiente Europe, en clin d’œil à la mésange, au moineau et au rouge-gorge qui ne migrent pas en hiver. Une proposition alternative discrète aux traditionnels motifs de Noël. La série comprend des serviettes de table et à cocktail, des mouchoirs, des bougies (2 tailles), des allumettes, un sac-cadeau, des tasses en porcelaine (3 tailles), des verres à double paroi (2 formats), un bol, un gobelet, des boîtes de conservation, des plateaux (2 tailles), ainsi qu’un set de table, un photophore, une housse de coussin, un torchon, un chemin de table, une manique et un gant de cuisine, ainsi que du thé en vrac présenté dans un emballage cadeau. Prix public : 3,75 € le paquet de 20 serviettes 33 × 33 cm.]
[Photo : La gamme de vaisselle en mélamine Rice s’associe à l’univers poétique de Nathalie Lété. Prix public à partir de 11,90 € la petite assiette.]
[Photo : La créatrice de mode Marine Serre lance sa première collection de vaisselle créée à partir de pièces upcyclées en partenariat avec la Faïencerie de Gien. Prix public : à partir de 80 € la tasse.]

ne vend pas seulement des produits, mais aussi un art de vivre. Il transmet des histoires, et c’est précisément ce qui fait la différence sur le marché aujourd'hui. »

FAIRE COMMUNIQUER LES UNIVERS

Loin d’être figés donc, les arts de la table se font acteurs et écrivent des histoires. À la Faïencerie de Gien, celle-ci continue de s’écrire avec l'arrivée depuis cinq ans de Marc Bureau, aujourd’hui directeur général adjoint. « Gien a fêté ses 200 ans en 2021 et l'entreprise continue d’évoluer pour aller vers un univers de la maison plus global, explique celui-ci. En effet, l'art de la table se limite à une pièce de la maison (cuisine, salle à manger ou jardin) et se veut restrictif. L'idée, aujourd'hui, est de répondre à d'autres besoins matériels qui suscitent envie et plaisir et complètent notre offre tout en allant puiser dans nos archives. »

Ainsi, la Faïencerie de Gien ce sont aussi des bougies parfumées faites par un maître cirier français auquel la marque fournit le contenant fabriqué par leurs soins, des objets de décoration qui sont visibles dans la maison (vases, lampes, boîtes, vide-poches, etc.), voire, depuis deux ans, du papier peint. « Cela rajeunit notre clientèle et dynamise notre réseau de vente, poursuit Marc Bureau. Même si nous perpétuons un savoir-faire français, nous avons un rôle de passeur qui nous oblige à nous renouveler et à nous projeter dans les années à venir. »

Même problématique pour les enseignes, donc pour les boutiques indépendantes ou non. « Il faut sans arrêt retravailler sa raison d’être pour amener du vivant et du lien à une époque où tout va vite, affirme Guillaume Lesouef, directeur de l’offre chez Maisons du Monde. La maison reste une valeur refuge où l’art de la table est une place forte. »

[Photo : Ambiance bucolique avec la gamme Josefina de Greengate. Prix public : à partir de 14,90 € la petite assiette.]
[Photo : Nouveau décor Rêverie chez Fürstenberg, signé par le designer français Dimitri Rybaltchenko, décliné sur la collection de vaisselle Auréole. Prix public : 112 € l'assiette à dîner Ø 28,7 cm.]
[Photo : La gamme en porcelaine Nuance de Novastyl mise sur une touche d'élégance discrète avec une finition craquelée. Prix public : à partir de 49,95 € les 6 assiettes creuses.]
[Photo : Signées IVV, les pièces de la collection Diamante sont entièrement fabriquées à la main en Italie. Leur motif rayonne du centre jusqu’aux extrémités de chaque objet, créant une surface particulièrement brillante et agréable au toucher. Prix public : 28 € l'assiette carrée 16 cm.]

… mais il faut lier cet univers à d'autres pour raconter des histoires qui ont plus d’impact. Ainsi, l'art de la table se met en scène de façon XXL et agrandit son territoire pour mieux s’offrir de nouveaux terrains de jeux et possibilités de vente.

D'ailleurs, dans le luxe et le haut de gamme où l'art de la table est plus dynamique que jamais. Ainsi, en mai dernier, Hermès annonçait la pose de la première pierre de la nouvelle manufacture Beyrand dédiée aux arts.

MADEMOISELLE COLETTE : ENTRE ART DE LA TABLE, DÉCO ET PIÈCES VINTAGES

Décoratrice d’intérieur, Vanessa Decelle a ouvert sa boutique en 2019 à Montbrison (Loire) : « Il est difficile d’obtenir des projets lorsqu’on débute, j’ai donc choisi d’ouvrir Mademoiselle Colette afin d’avoir une présence physique. » Unique, son concept mixe de la brocante avec des produits plus contemporains. Art de la table, mais pas uniquement : la décoration est en bonne place avec des produits faits main, des matières naturelles et des couleurs douces. « Je travaille avec Räder qui développe aujourd’hui davantage de produits en saison et même de la vaisselle, Boncoeurs (ex-votos, linge de table, miroirs), Les Pensionnaires (linge de cuisine, sacs, trousses) ou encore les plats en céramique hauts en couleurs d’Argile et Couleurs faits à Aubagne », égrène-t-elle. Sa touche : marier la brocante avec le neuf. « Cela surprend les clients et les questionne : qu’est-ce qui est neuf et de style ancien ou vintage ? » En parallèle, elle propose ses services (conseils déco, création d’ambiance pour une pièce, projet complet). « Mes produits sont proposés à différents tarifs afin de toucher le plus grand nombre de clients avec des budgets variés. Je suis très présente sur les réseaux sociaux, ce qui me permet d’échanger également en ligne avec ma clientèle et de présenter mes produits en situation réelle. Pour réussir, je pense qu’il faut écouter sa sensibilité, cela me semble être la clé de la réussite », conclut-elle.

La marque belge Pomax s'est associée à la designer Sophie Casier pour développer Cycle, une nouvelle ligne d’arts de la table et d’objets décoratifs en céramique. Inspirée de la floraison de la pivoine, de la graine à l’éclosion, la collection traduit des étapes discrètes de la croissance de la fleur. Une ode à la métamorphose du vivant !

[Photo : Nouveauté chez Lifetime Brands, la série Mikasa Coupe Bowls (12 motifs assortis) en grès, conçue pour servir une variété de plats tendances (pâtes, riz, ramen, salades, etc). Un présentoir dédié aux meilleures ventes est disponible pour stimuler les achats spontanés.]

de la table à Couzeix (Haute-Vienne). Deuxième site dédié aux collections des arts de la table du groupe Hermès, celle-ci ouvrira ses portes en 2027 et accueillera à terme 300 collaborateurs dont 230 artisans. Depuis la création du premier service de porcelaine Pivoines en 1984, Hermès n’a de cesse de développer et d’étoffer ses collections d’art de la table, un segment qui tend à gagner en puissance dans le chiffre d'affaires de la griffe. Ainsi, en 2024, la catégorie des “autres métiers Hermès”, qui regroupe la bijouterie et les produits pour la maison, a vu ses ventes grimper de plus de 17 %, à 1,9 milliard d’euros, dépassant notamment le chiffre d'affaires des activités soies et textiles, parfums et beauté ou encore horlogerie.

[Photo : Collection Jamie Oliver Big Love]

Les arts de la table occupent une place importante dans l'offre du cadeau, stimulés par les réseaux sociaux et l'attrait pour des pièces design et personnalisées. Les collaborations permettent de proposer des collections originales et tendance qui suscitent l'envie d'achat. Ici, chez Lifetime Brands.

[Publicité : Jacquard Français]
[Photo: Collection Flowery par Pozzi Milano. Prix public : à partir de 39 € le coffret de 4 mugs.]
[Photo: Courbes harmonieuses, formes artisanales, finition noir mat conjuguée à des couleurs intérieures réactives pour la collection Gao chez Médard de Noblat. Prix public : 18,60 € l'assiette plate à 27 cm.]
[Photo: Serax et le festival de musique électronique emblématique Tomorrowland, organisé à Boom (Belgique), réputé pour ses scènes spectaculaires, s'unissent autour d'une collection d'art de la table. Prix public : à partir de 16 € la petite assiette.]
[Photo: Räder propose désormais davantage de nouveautés pour la table tout au long de l'année. Ici, la gamme Das Blühende Leben. Prix public : à partir de 14,99 € la petite assiette.]
[Photo: Inspirée par les reflets chauds des bois précieux, la collection de plats Acajou de Table Passion diffuse, avec ses nuances mêlant des tons bleutés et brun, une lumière semblable à celle d'un soleil d'hiver.]

LES COLLABORATIONS S'INVITENT À TABLE

Enfin, à l'heure où, sur les réseaux sociaux, les images de mets soigneusement arrangés rivalisent avec celles des derniers accessoires à la mode, les collaborations avec les marques, grands chefs ou créateurs de mode apportent de nouvelles histoires en rayons et en boutiques. De Serax qui collabore avec Ann Demeulemeester ou Marni, à Maisons du Monde qui a invité le chef Mory Sacko à imaginer une collection d’objets d’art de la table et du quotidien, en passant par Gien dont la collaboration fructueuse avec Jean-Charles de Castelbajac...

Distribuée en France par La Petite Centrale, la marque Fiftyeight Products puise ses origines dans le monde de l’animation 3D. Elle a en effet été fondée par une équipe de créatifs passionnés basée à Wiesbaden (Allemagne) imaginant de courts films d’animation où les tasses et les bols prennent vie, exprimant la joie, la tristesse, l’espièglerie ou l’amour.

Le public se prend d’affection pour ces visages expressifs, au point de vouloir les retrouver non plus seulement à l’écran, mais aussi sur la table du petit-déjeuner. C’est ainsi qu’est née la collection Tassen, fabriquée en Allemagne, qui propose des mugs, des bols et des assiettes en porcelaine arborant des visages qui sourient, bougonnent, rient, etc. « Dans nos collections, chaque visage raconte une histoire, souligne Timm Osterhold, cofondateur de Fiftyeight Products. Les consommateurs n’achètent pas seulement une tasse ; ils ramènent à la maison une humeur, une étincelle d’humour ou de tendresse à partager. » Une dimension narrative qui fonde le succès de la marque suivie par des collectionneurs et des fans dans plus de 60 pays.

Se poursuit, l’heure est aux échanges d’influences. « Faire communiquer des univers différents est quelque chose de très intéressant, explique Marc Bureau (Gien). D’ailleurs, nous développons cet axe. » Ainsi après Ladurée ou Yazbukey, la créatrice Marine Serre vient de diversifier ses collections vers l'art de vivre et a choisi, pour l’occasion, la Faïencerie de Gien comme partenaire. Pour Noël, cette dernière prévoit d’ailleurs un projet spécial avec celle-ci pour animer son réseau de boutiques. De quoi amener de l’inattendu en boutiques et ainsi surprendre les clients là où ils ne s’y attendent pas.

[Photo : Entre table et décoration, le pichet s’expose, Faïencerie de Gien, pichet Les Dépareillées. Prix public : 250 €.]
[Photo : Nouvelle gamme Sintra Line chez WD Lifestyle. Prix public : 30,90 € la théière.]
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